Enfant, enfant des étoiles. Tu t’es perdue parfois, à maintes reprises. À maintes reprises, nous t’appelions, à maintes reprises tu nous écoutais et nous écoutions.

Regarde en toi. Ternir les autres n’est pas ton chemin, il n’est pas ta prouesse, la prouesse des hommes ténus, la prouesse de ceux qui guident par la puissance.

Enfant des étoiles, toi seule sais te reconnaître. Toi seule dois croire que plus d’un sont courageusement venus en ces temps bien particuliers pour redorer leur blason et leur nature suprême.

Incandescente lumière, reconnais-toi, reconnecte-toi. Toi seule peut le faire et tu as la clé. Toi seule peux être certaine d’être à la bonne place. Ne doutons jamais, ne doutes pas, surtout ne doutes pas.

Il y paraît à son heure. À son heure viendra à toi, viendront les trompettes célestes. Reconnais-la, reconnais-les pour toi et non pour les autres. Chacun à sa place, nul doute il y a. Namasté. »